Jennyfer Exantus
Titulaire d’un baccalauréat en communication à l’Université de Montréal (UdeM), Jennyfer poursuit une maîtrise en sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Dirigée par Stéphanie Yates, elle se penche particulièrement sur les enjeux de durabilité au sein de l’industrie de la mode. Ses principaux intérêts de recherche portent sur la communication environnementale, la mobilisation citoyenne et l’acceptabilité sociale. En plus d’être affiliée au CRSDD, Jennyfer est membre du Laboratoire sur l’influence et la communication (LabFluens), à l’UQAM.
En parallèle de ses études, elle a travaillé pendant une dizaine d’années dans l’univers médiatique québécois à titre de journaliste et de productrice. Elle a également œuvré en tant que consultante en communication numérique et scientifique.
Dominik Boudreault Lapierre
Dominik est diplômé du baccalauréat en communications (relations publiques) et poursuit actuellement une maîtrise en communication à l’UQAM, sous la direction de Stéphanie Yates. Dans le cadre de son projet de recherche, Dominik s’intéresse à la communication entourant l’acceptabilité sociale de projets miniers s’inscrivant dans la transition énergétique. Il a également reçu la bourse d’études supérieures du Canada au niveau de la maîtrise émise par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). En plus d’être affilé au CRSDD, Dominik est membre du LabFluens ainsi que du Groupe de recherche en communication politique de l’Université Laval (GRCP). En parallèle, Dominik travaille depuis quelques années dans le domaine des affaires publiques.
Ambre Creux-Martelli
Ambre Creux-Martelli est actuellement candidate à la maîtrise au sein du Département de communication sociale et publique de l’Université du Québec à Montréal. Son parcours académique est guidé par une passion profonde pour les questions de durabilité dans l’industrie de la mode. Ses travaux de recherche reflètent cet intérêt, en se concentrant sur des sujets tels que la communication environnementale, la problématique de l’écoblanchiment, ainsi que le concept de suffisance à travers le prisme de la mode. Son mémoire en recherche-action participative, mené en collaboration avec Fashion Revolution Quebec et Entremaille, se concentre quant à lui sur la sensibilisation environnementale dans le contexte de l’industrie de la mode et est supervisé par Stéphanie Yates.
Geneviève Dugré
Geneviève Dugré est titulaire d’un baccalauréat en communication et d’une maîtrise en sociologie. Elle a également réalisé des programmes cours de deuxième en éducation relative à l’environnement et en pédagogie de l’enseignement supérieur. Elle termine une maîtrise en éducation et a effectué des études de troisième en sociologie et en science politique. Elle a travaillé depuis une dizaine d’années en recherche sur des sujet diversifiés (travail, santé mentale, arts et culture, éducation, etc.). Elle a un intérêt particulier pour la sociologie politique et l’articulation entre démocratie et mouvements sociaux. Dans le cadre particulier de cette recherche, elle s’intéressa plus particulièrement aux enjeux éthiques et politiques relatifs à l’intelligence artificielle. Cela est d’ailleurs complémentaire à son implication à l’École des médias de l’UQAM où elle réalise actuellement des recherches sur l’automatisation des discours politiques ainsi que sur les concepts de « prosumer » et de « crowdsourcing ». Elle est également agente de recherche pour l’Observatoire interuniversitaire sur les pratiques innovantes d’évaluation des apprentissages et auxiliaire d’enseignement dans plusieurs disciplines. En parallèle à ces activités académiques, elle compte plusieurs années d’expérience dans le milieu communautaire et s’implique dans le mouvement écologiste ainsi que sur certains enjeux urbains.
Charles Duprez
Charles réalise un doctorat en cotutelle entre l’EHESS en France (en sociologie, sous la direction de Serge Paugam) et l’UQAM (en administration sous la direction de Corinne Gendron). Sa thèse porte sur la mobilisation des formes de solidarité sociales dans les projets de transition écologique. Ses intérêts de recherches se concentrent principalement sur les nouvelles formes de solidarités sociales, sur l’acceptabilité sociale et la démocratie participative, sur la décroissance ainsi que sur les questions de justice sociale dans la transition écologique. Il a à ce titre réalisé un mémoire de maîtrise sur les propositions de la post-croissance face aux crises des régimes d’inégalités capitalistes. Charles détient une maîtrise en Responsabilité Sociale et Environnementale de l’ESG UQAM ainsi qu’une maîtrise en management de l’IESEG en France. Charles a aussi travaillé plusieurs années au Network for Business Sustainability (NBS) et il fait aujourd’hui partie de différents centres de recherche tels que le Philab, le Centre Maurice Halbwachs (CMH) ou encore l’OCCAH.
Élizabeth Durand
Élizabeth est étudiante à la maîtrise en Responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM. Elle détient un baccalauréat en psychologie, avec une spécialisation honors en neuropsychologie, ainsi qu’un certificat en ressources humaines et en comptabilité. Elle fait partie de l’équipe de recherche sur l’acceptabilité sociale de Corinne Gendron. Évoluant depuis quelques années dans le milieu des coopératives, Élizabeth a eu l’occasion de réaliser l’importance de l’imbrication du social dans les entreprises. Elle s’intéresse d’ailleurs particulièrement aux nouveaux mouvements sociaux qui découlent de la remise en question du rôle des communautés dans la sphère politique. Elle travaille présentement sur la participation sociale dans le milieu municipal, plus particulièrement sur l’augmentation du pouvoir d’agir des citoyens via la participation citoyenne de style bottum-up.
Pierre-Luc Fortier
Bachelier en administration des affaires, Pierre-Luc est candidat à la maîtrise en responsabilité sociale et environnementale. Dans le cadre du projet de recherche Dialogue social et configuration des instances démocratiques intermédiaires : de l’acceptabilité sociale à la démocratie participative. Il est en charge du volet sur l’industrie de nanotechnologies et s’intéresse plus spécifiquement sur l’absence de débat public lors du développement de cette industrie au Québec.
Ariane Lacasse-Gendron
Bachelière en administration des affaires de l’Université du Québec à Montréal, Ariane Lacasse-Gendron a acquis des connaissances du milieu municipal lors de son certificat en gestion urbaine et immobilière à l’Université Laval. C’est dans le cadre de ses études au premier cycle qu’elle s’est originellement intéressée au développement durable et à la responsabilité sociétale. Elle amorce sa maîtrise en sciences de la gestion à l’UQAM, dans la spécialité Responsabilité sociale et environnementale. Ariane a intégré l’équipe de recherche en responsabilité sociale et développement durable dirigée par Corinne Gendron au début janvier 2020. Ses centres d’intérêt sont principalement la condition animale dans la société ainsi que l’étude des dynamiques du débat public. Son mémoire porte sur l’opinion publique à l’égard de l’utilisation des chevaux dans l’industrie récréotouristique.
Benoit Genest
Le parcours de Benoit Genest est hétéroclite. Ayant débuté ses études universitaires en philosophie, il est titulaire d’un baccalauréat (UQÀM) et d’une maîtrise en philosophie (recherche) de l’Université de Montréal qui a été financée par le FRQSC. Après ce passage qui l’a amené à approfondir la philosophie allemande du 19e siècle, Benoit a bifurqué vers la gestion avec une seconde maîtrise à l’École des hautes études commerciales (HEC Montréal) en management. Cité au Tableau d’honneur, Benoit a commencé à s’intéresser à l’économie sociale, au développement durable et à la responsabilité sociale des entreprises. Depuis l’automne 2018, il est inscrit au doctorat en administration à l’ESG où il travaille sous la supervision de Nicolas Merveille. Ses travaux en cours concernent la responsabilité des employeurs dans la création d’initiatives en mobilité durable. Sa contribution au regroupement concerne surtout les enjeux d’acceptabilité sociale entourant l’émergence de l’économie collaborative. En outre, Benoit continue de collaborer avec le Centre interdisciplinaire d’opérationnalisation du développement durable (CIRODD) et il effectue depuis février 2019 un stage Mitacs auprès de Jalon Montréal, une organisation chargée de mettre sur pied des solutions de transports électrifiés et intelligents. Récipiendaire de la Bourse à la mobilité FRQNT-CIRODD, il effectuera dès septembre 2019 un séjour de recherche à l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée.
Mathilde Mougel-Lachance
Mathilde est étudiante à la maîtrise ès sciences de la gestion, spécialisation Responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM. Elle détient un baccalauréat en administration des affaires. Mathilde a aussi eu l’occasion d’étudier le droit civil à l’Université d’Ottawa. Mathilde a intégré l’équipe du CRSDD de Corinne Gendron en janvier 2023. Concernant son mémoire, elle s’intéresse notamment à la gouvernance internationale de l’environnement et la place des organisations dans cette gouvernance, sous la direction de Corinne Gendron.
Elie Nguekam Wambe
Titulaire d’une maitrise en sciences de l’environnement, d’un DESS en biologie et d’une attestation de 2nd cycle au microprogramme : organisation des services de santé et des services sociaux, Elie NGUEKAM WAMBE a plusieurs casquettes : gestionnaire des projets/programmes environnementaux et sociaux, développement des outils de formation en participation citoyenne en lien avec les politiques publiques, le développement durable et communautaire, les changements climatiques. Il a aussi des expertises en hygiène, santé et sécurité au travail et en organisation des services de santé et sociaux. Plus de dix années d’expériences dans divers autres domaines, à l’instar de l’évaluation environnementale, l’inventaire des gaz à effet de serre, en identification et élaboration des projets, en approche genre dans l’adaptation aux changements climatiques, en étude d’impacts environnementaux, en suivi des résultats, au développement des stratégiques de changements et à la formation des adultes sans oublier les enquêtes et recherches. Actuellement, Elie est étudiant en doctorat (PhD) en sciences de l’environnement, dont son thème de recherche s’intitule « Participation citoyenne dans la mise en œuvre des mesures de protection de l’environnement ». Doté d’une excellente capacité d’analyse et d’une facilité à communiquer tant à l’écrit qu’à l’oral, il se démarque par son aptitude à travailler en équipe pluridisciplinaire, associant son esprit d’initiative à ses solides connaissances techniques qui lui permet de mener les tâches qui lui sont confiées efficacement. Son champ d’intérêt actuel couvre une équipe pluridisciplinaire et dynamique optant pour surmonter les défis et ayant pour intérêt de produire les résultats que ce soit dans le domaine technique que managerial. Aujourd’hui, il poursuit ses ambitions à travers sa recherche doctorale et ses différentes consultations.
Carole Angelina Ouédraogo
Carole Angélina OUÉDRAOGO est titulaire d’un Master en Management de l’Environnement et du Développement Durable de l’Université Aube Nouvelle (U-AUBEN) au Burkina Faso et est membre fondatrice du Club Environnement et Développement Durable (CEDD U-AUBEN). Elle complète actuellement un doctorat en Sciences de l’environnement à l’Université du Québec À Montréal et questionne l’éthique de l’acceptabilité sociale, visant à établir les jalons pour des choix libres dans les processus décisionnels sur les projets majeurs. Dans ses recherches antérieures, elle a notamment travaillé sur l’acceptabilité sociale des grands projets au Burkina Faso, les villes durables, l’évaluation des modalités des processus décisionnels et la proposition d’approches et démarches socialement acceptables des projets dans la perspective du développement durable. Ses intérêts de recherche portent également sur les stratégies gouvernementales en matière de responsabilité sociale et environnementale de l’entreprise dans la perspective du Programme 2030 et des Objectifs du développement durable des Nations Unies.
Fabienne Rioux Gobeil
Après avoir obtenu son diplôme de baccalauréat en géographie à l’UQAM en 2017, Fabienne entame sa maîtrise en sciences de l’environnement. De 2016 à 2017 elle fait un stage en aménagement forestier pour les Aménagements écozones dans lequel elle apprend à élaborer des plans d’aménagement du territoire. Lors de l’été 2018, elle part en Bolivie pour faire un stage de coopération internationale spécialisé en gestion de l’eau et adaptation aux changements climatiques. Depuis septembre 2018, elle fait partie de l’équipe de recherche sur la transition énergétique, au sein de laquelle elle est coordonnatrice de projet. Cela lui permettra de faire un stage de recherche à l’été 2019 à l’INERIS, sur le développement de la filière de la méthanisation en France.
Justine Lalande
Justine est doctorante en communication à l’Université du Québec à Montréal, sous la supervision de Stéphanie Yates. Sa thèse porte sur les représentations sociales de la transition écologique au Québec et de leurs effets sur l’acceptabilité sociale des projets. Plus largement, ses intérêts de recherche portent sur l’acceptabilité sociale, le lobbyisme, le rôle de l’expertise et la communication politique. Elle est récipiendaire d’une bourse doctorale du FRQSC. En plus d’être affiliée au CRSDD, Justine est membre du Groupe de recherche en communication politique de l’Université Laval (GRCP) ainsi que du LabFluens. Elle est également chargée de cours au département de communication sociale et publique à l’UQAM. Elle est Fellow de la cohorte 2023-2024 d’Action Canada, l’incubateur principal de leaders en politiques publiques au Canada et a été nommée sur le premier Conseil jeunesse de Ressources naturelles Canada. Justine a auparavant été boursière de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant et a travaillé dans une agence de relations gouvernementales.
Axelle Ferrant
Axelle est doctorante en administration à l’ESG UQAM. Elle détient une maîtrise en histoire contemporaine de l’Université libre de Bruxelles, un diplôme d’études spécialisées en politiques européennes avec une spécialisation en relations internationales de l’Institut d’études européennes, un executive master en finance de Solvay Business School et un MBA de l’ESG UQAM. En 2021, après avoir évolué pendant près de 15 ans dans différentes entreprises multinationales à Hong Kong, Bruxelles et Montréal, elle quitte ses fonctions de gestionnaire pour se consacrer à la recherche. Dans le cadre de sa thèse, Axelle se questionne sur la manière dont la biodiversité redéfinit le cadre d’une gestion durable des forêts. Plus largement, elle interroger les frictions qui naissent de la rencontre entre les dynamiques extractivistes de l’industrie forestière et les expériences vécues par les acteurs sociaux qui vivent de et dans la forêt, dans un contexte global d’effondrement de la biodiversité. Par ailleurs, Axelle participe à un projet de recherche collégial financé par le FRQNT consacré à l’influence de l’utilité sociale perçue sur l’acceptabilité sociale de projets miniers. Plus largement, ses intérêts de recherche portent sur l’analyse historique et critique, la transition écologique, l’extractivisme et les relations humains-nature.
Léa Goldman
Léa est candidate à la maitrise en sciences de la gestion à l’Université du Québec à Montréal. Spécialisée en responsabilité sociale et environnementale des organisations, ses recherches actuelles portent sur l’acceptabilité sociale et la transition énergétique sous la direction de Corinne Gendron. Léa possède également un baccalauréat en communication, relations publiques de l’Université du Québec à Montréal.
Arnauld Chyngwa
Arnauld Chyngwa est diplômé de sciences politiques et de relations internationales, de l’Université de Yaoundé II et de l’Institut des relations internationales du Cameroun (IRIC). Pendant plus de 03 ans, il a travaillé avec les équipes de communication des Nations unies au Cameroun sur les questions de développement durable, et du Centre de recherche forestière internationale (CIFOR) sur les questions forestières et environnementales. Aujourd’hui il est candidat au doctorat en sciences de l’environnement à l’UQAM. À travers sa recherche qui porte sur l’acceptabilité sociale de gestion territoriale des aires protégées en contexte africain, il souhaite notamment contribuer à la consolidation d’une approche de recherche sur l’acceptabilité sociale plus adaptée au contexte africain. Cette contribution permettra notamment un débat théorique entre les perceptions occidentales de l’acceptabilité sociale et de la participation publique, et les réalités africaines.
Zeynep Torun
Zeynep Torun, originaire de Turquie, est étudiante à la maîtrise en responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sciences économiques et de gestion à l’Université Lumière Lyon 2 et elle détient une maîtrise en sciences économiques et sociales avec la spécialisation en histoire de la pensée économique accréditée de l’ENS de Lyon et de l’Université Lumière Lyon 2. Elle s’intéresse aux questions autour de l’agriculture, de la transition écologique et de l’acceptabilité sociale. Elle réalise présentement un mémoire, sous la direction de Corinne Gendron, sur la transition écologique de l’agriculture québécoise en mettant l’accent sur les défis institutionnels, auxquels ce secteur fait face.
Rachida Bouhid
Rachida Bouhid est une professionnelle de la chaîne logistique durable. Après quelques années dans le domaine de la transformation manufacturière, elle s’est dirigée vers le secteur des services et plus précisément celui de l’énergies où elle a occupé des postes de gestion et d’administration des contrats d’approvisionnement. L’enseignement, autant au niveau collégial qu’universitaire, est venu par la suite enrichir son parcours, et elle a subséquemment assumé des responsabilités en administration des programmes d’études, de leur révision et élaboration jusqu’à leur mise en œuvre et leur évaluation. Rachida est reconnue pour ses qualités de rallier les points de vue différents, proposer des solutions unificatrices et mener les projets à terme malgré les contraintes et les limites. Dans ses études de troisième cycle, ses intérêts de recherche portent sur les pratiques de la durabilité et de la circularité en lien avec la responsabilité sociale des entreprises et l’acceptabilité sociale. Plus particulièrement, elle se penche sur l’étude des défis auxquels les organisations sont confrontées lors de la mise en œuvre des processus de transformation. Elle croit en la responsabilité de l’organisation à jouer un rôle important dans la transition vers une société durable, diverse et équitable. Elle n’hésite pas à dédier une partie de son temps au service de la communauté et être bénévole pour différents projets de sensibilisation aux défis du changement climatique et à l’importance d’intégrer la circularité aux activités quotidiennes citoyennes.